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En une seule prise de son, ce film évoque le déplacement, le besoin de communiquer, la solitude, la fragilité, la liberté, l’arrivée de l’automne, notre existence éphémère.
Images illusoires et réflexions sonores sur une carrière stagnante en cinéma. Avançant et reculant en simultané tout en s’arrêtant. Conduire à 100 km/h tout en restant immobile.
Une collection de témoignages d’inconnus abordés sur des sites de rencontre illustrée par des images de synthèse comme outil de reconstitution de souvenirs amoureux.
Ce film-autoportrait, tourné en Super-8, illustre le chaos sensoriel provoqué par des acouphènes permanents semblables à des vagues infinies.
Des femmes émergent de l’ombre et marchent vers une source lumineuse. Guidées par leur instinct, elles devront se faire face et transcender leurs propres limites.
Fraîchement tué par des coyotes, un cerf gît au milieu d’une pinède. Deux caméras de surveillance, une année durant, nous font voir la suite des choses.
Le corps du pharaon se déforme et le paysage est animé de faisceaux lumineux tirés de l’oeuvre apocalyptique et philosophique de Hideaki Anno, Neon Genesis Evangelion.
Autobiographie qui interroge l’émotion de l’instant fané à travers le souvenir audiovisuel. Voici les derniers moments d’Hélène Lamoureux, sa grand-mère récemment décédée.
Des peintures à l’encaustique sur un annuaire font office de palimpseste illus‐ trant la violence et la folie des émeutes qui ont bouleversé l’Espagne en octobre 2019.
Porte numéro un. Porte numéro deux... Porte numéro trois ! Une lumière sensible exécute une élégie.
Un conte d’hiver: l’expérience réelle d’un amour imaginé.
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